jeudi 28 janvier 2016

Pourquoi commémore-t-on le passé ?



C'est à l'occasion des commémorations du 11 novembre que nous nous sommes posé cette question. 

- pour que le passé reste gravé en nous 
- pour rendre hommage aux morts
- pour être heureux, fiers des épisodes de notre passé
- pour informer
- pour montrer notre unité
- pour soulager notre conscience
- pour se souvenir
- pour ne pas commettre les mêmes erreurs.

                                Comment commémorons-nous le passé ? 


- par des fêtes
- par des jours fériés
- en allant au cimetière
- en construisant un monument. 
- les artistes commémorent aussi le passé.


                                                                                                         Obbad Noha
                                                                                                                 3B

jeudi 7 janvier 2016

Sommes-nous vraiment tous égaux ?


Vivre ailleurs est-ce vivre mieux ?




C’est à partir de l’étude du roman de Philippe Claudel La petite fille de Monsieur Linh en Français et en Education Morale et Civique que nous nous sommes posé cette question.


 OUI :

- fuir la guerre.

-se déplacer dans un pays plus développé afin de vivre dans des conditions meilleures (Etats-Unis, Allemagne).

-recouvrer la LIBERTE, se sentir enfin libre.

-avoir un meilleur avenir.

- découvrir un nouveau monde.

- faire de nouvelles connaissances. 
-  changer de vie.



NON :

- ressentir le manque de la famille, du pays natal.

- ne pas s’adapter à sa nouvelle vie (nourriture, style vestimentaire, langue, religion).

- affronter l’autre, l’inconnu, les discriminations.

- ne pas réussir à être heureux.

- se perdre, ne pas savoir s’y prendre seul.



 Des conditions indispensables pour vivre mieux :

- être autonome, responsable, courageux.

- se fixer des objectifs.

- vivre ailleurs c’est vivre différemment.



Lina Benyassef 3B

5 octobre 2015

Faut-il encore se battre pour la liberté ?



Cette question s’est imposée à nous après l’étude d’une photographie de presse en E.M.C. « La Marianne de mai 68 » de Jean-Pierre Rey.



Liberté : Possibilité d'agir selon ses propres choix, sans avoir à en référer à une autorité quelconque.



Oui parce que :

-La liberté est possible pour tout le monde.

-Il y a encore des pays sans liberté.

-Sans liberté, la vie n’a pas de sens.

-Les hommes naissent égaux.

-Il faut se battre pour avoir tous les mêmes droits : les femmes comme les hommes peuvent exercer le pouvoir.

-Pour dire ce qu’on veut quand on veut.

-On a le droit de voter pour changer les lois.



Non parce que :

-Es-tu capable de mourir pour la liberté ?

-Il faut s’entendre sur la définition de liberté.

-Il y a différents moyens pour accéder à la liberté.

-Combat perpétuel  *les gens se battent pour des nouvelles libertés

              *les gens en perdent d’autres.



Maria Martinez de Albornoz 3A, secrétaire de séance, mardi 29 septembre 2015


mardi 5 janvier 2016

La règle est-elle nécessaire à l'école ?


Le projet pour les 6ème


Nous avons choisi de privilégier, en classe de sixième, des thèmes en liaison avec l'actualité, le nouveau socle commun et le nouveau programme d' E.M.C. qui invite les élèves à réfléchir sur le monde qui les entoure et à construire une réflexion tout en étant à l'écoute de l'autre. Les séances et les débats se déroulent avec une classe de CM2. Le thème a été choisi par les élèves en concertation.
Les questions débattues sont soulevées par les élèves lors des cours à partir de supports divers.

Un secrétaire de séance et un animateur sont nommés en amont du café philo. L'animateur distribue la parole, recentre le débat et apaise les passions. Quant au secrétaire, il note les éléments forts du débat à partir de son ressenti. La trace écrite est ensuite retravaillée en classe entière pour aboutir à la construction d'une carte mentale.

Le projet pour les 3ème


Nous avons choisi de privilégier, en classe de troisième, des thèmes en liaison avec l'actualité, le nouveau socle commun et le nouveau programme d'E.M.C. qui invite les élèves à réfléchir sur le monde qui les entoure et à construire une réflexion tout en étant à l'écoute de l'autre.
Les questions débattues sont soulevées par les élèves lors des cours à partir de supports divers.
Un secrétaire de séance et un animateur sont nommés en amont du café philo. L'animateur distribue la parole, recentre le débat et apaise les passions. Quant au secrétaire, il note les éléments forts du débat à partir de son ressenti et propose une trace écrite brute qu'il présente comme il le souhaite. Il peut s'agir d'éléments de phrases ou tout simplement de mots. Ce compte-rendu ne peut ni être exhaustif ni prétendre à conclure le débat.